A travers la technique de la gravure ,elle dompte la planche et la découpe, Nathalie affronte le bois.
Elle poursuit sa ballade aux travers des chantiers et des paysages.
Elle approche “l’eau-forte”par le vide, elle compose, elle découpe , elle structure un autre imaginaire .
Elle crée un paysage en mutation et donne à découvrir une autre histoire en fonction des différentes associations des plaques imprimées. Esquisse de la tragédie, ce sont les mêmes scènes de chaos sur terre, cette fois interprétées par la ligne et le trait. Elle redessine le paysage et donne à voir une nouvelle écriture. Place au noir et blanc : l’estampe devient lisse et surprenante.