Nathalie van de Walle raconte des effets de paysages réels, elle poursuit des ballades au dehors et ce qui reste défait la fascine : les chantiers, les structures métalliques, les échafaudages. Elle découpe des trous dans le blanc de la toile, parce qu’elle fait autrement, elle voit autrement.
Elle met son regard en mouvement. Pour elle, les vides des structures donnent naissance à une sculpture imaginaire. Ces trouées de lumière blanche avec leurs pulsations d’ombre et de lumière rejoignent alors la représentation. Elle ne veut pas s’enfermer, elle veut de l’espace, de quoi aller et venir, voir derrière, satisfaire la curiosité.